L’annonce intervient alors que François Hollande subit depuis samedi la pression de l’opposition pour qu’un vote soit organisé au Parlement sur la perspective d’une action militaire de la France contre le régime de Bachar al-Assad, tenu pour responsable de l’attaque chimique meurtrière du 21 août. Alors que les frappes aériennes semblaient imminentes, Barack Obama, déterminé comme François Hollande à "punir" ce régime, a annoncé samedi qu’il allait consulter le Congrès américain.
