"Le gouvernement de Bachar al Assad accueille favorablement l’idée d’organiser des discussions avec les groupes d’opposition (…) La condition principale est que ces discussions aient lieu sous la supervision du chef de l’Etat", a déclaré Hamed Hassan.
Le diplomate syrien a déclaré que son gouvernement avait coopéré à la mise en oeuvre de la mission conjointe des Nations unies et de la Ligue arabe que d’autres États ont, selon lui, sabordé, a rapporté l’agence de presse officielle Irna. Il a réitéré la position syrienne selon laquelle le gouvernement de Damas était attaqué par des groupes "terroristes".