"Il doit être clair pour la Grèce qu’il n’y a pas d’alternative au programme d’assainissement (budgétaire) convenu, si elle veut rester membre de la zone euro", a déclaré M. Asmussen.
Les élections législatives grecques de dimanche, où la coalition de gauche radicale Syriza anti-austérité a connu une énorme poussée, ont provoqué la crainte des responsables européens sur un probable désengagement du pays quant aux respect des mesures d’austérité.
Interrogé sur l’actuelle récession qui est plus profonde, M. Asmussen a admis un problème de communication, soulignant qu’il aurait fallu parler davantage de "réformes structurelles créatrices de croissance" que de "mesures d’économie.
en effet, le conseiller économique du gouvernement grec sortant, a signalé mercredi que la Grèce risque de sortir de la zone euro, si elle dénonce les accords passés avec l’UE et le FMI pour qu’ils la sauvent de la faillite en échange de son ajustement budgétaire. REW