"Les conseils de Sciences Po choisiront, le moment venu, son successeur. Pour l’heure, c’est l’immense émotion et le besoin de recueillement qui dominent", a écrit M. Casanova, président de la Fondation nationale des sciences politiques (FNSP), dans une lettre dont l’AFP a eu copie.
Ce courrier a été adressé jeudi matin "à la très grande communauté de Sciences Po, c’est-à-dire les 10.000 élèves, les 3.400 enseignants, les 900 salariés, des milliers d’anciens et à nos amis dans nos 400 universités partenaires partout dans le monde", a-t-on précisé à l’institution.