Ce projet vise à renforcer la capacité des raffineries et à réduire les émissions de soufre et de gaz, et devra être lancé en avril prochain pour un délai de cinq ans.
Trois projets de raffineries ont été remportés par des consortiums conduits respectivement par le britannique Petrofac pour 3,8 milliards de dollars, l’américain Fluor pour 3,4 milliards de dollars et le japonais JGC Corp pour 4,8 milliards de dollars.
La capacité de production actuelle de deux raffineries (Mina Al-Ahmadi et Mina Abdallah) est de quelque 730.000 barils par jour (b/j), et celle de la troisième raffinerie à Shuaiba est de 200.000 b/j.
A cet effet, la capacité des deux raffineries devrait être portée à 800.000 b/j à la fin des travaux confiés aux trois consortiums, tandis que la troisième raffinerie pourrait être fermé.
Par ailleurs, le Koweït devrait attribuer d’autres contrats pour la construction d’une raffinerie moderne d’une capacité de 650.000 b/j, afin de porter sa capacité de raffinage de brut à 1,4 million de barils par jour.