« À partir de fin juin, la capacité du gouvernement à remplir pleinement ses obligations dépend de l’approbation des versements à venir des prêts accordés par le FESF (Fonds européen de stabilité financière) et le FMI » selon lui
La Grèce risque d’être à court de liquidités d’ici fin juin si les bailleurs de fonds du pays coupent leur aide suite à un rejet du plan d’aide international dans les urnes le 17 juin, a prévenu l’ex-Premier ministre grec Lucas Papademos.