Lundi, alors que Londres, Washington ou Ottawa annonçaient des mesures concrètes contre l’Iran accusé de vouloir acquérir l’arme atomique, le président Nicolas Sarkozy avait proposé à l’Allemagne, au Canada, aux Etats-Unis, au Japon, au Royaume Uni "de geler dès à présent les avoirs de la Banque centrale d’Iran et d’interrompre les achats de pétrole iranien". Il avait ajouté en avoir saisi aussi l’Union européenne.