"Je ne comprends pas cette clause", a indiqué un membre du Parti du travail à l’AFP. "Il y a actuellement des chaînes de télévision et des radios en Algérie qui diffusent en français et invitent des responsables politiques pour connaître leurs opinions. Comment feront-ils ?"
Ces amendements interdisent également la création de partis dont les buts sont en contradiction avec "les valeurs de la Guerre d’indépendance de l’Algérie contre la France et la morale islamique". Ce projet de loi est l’une des nombreuses réformes politiques et constitutionnelles promises par le Président Abdelaziz Bouteflika qui doivent être votées avant fin janvier pour renforcer la démocratie en Algérie.