Jeudi, la Jordanie avait libéré sous caution 22 salafistes (islamistes radicaux) accusés "d’actes terroristes et subversifs" après une manifestation violente dans laquelle 40 policiers avaient été blessés en avril à Zarqa (23 km au nord-est d’Amman). Ces décisions font suite à l’engagement du nouveau gouvernement d’Aoun Khassawneh de réexaminer les cas de prisonniers politiques après une série de manifestations animées par l’opposition islamiste.