
"Les Français ont un regard attendri, respectueux à l’égard de Jacques Chirac. Ils aiment les Français et ils le savent", a-t-il estimé, avant de répondre aux questions sur la santé de l’ancien président : "Je suis inquiet, préoccupé, triste. Il n’est plus comme il était (…) Il a des difficultés à marcher. On sent un homme usé, fatigué" précisant qu’il dînerait avec son ami, qui siège à ses côtés au Conseil Constitutionnel. "C’est un grande tristesse", insiste-t-il.
"C’est la vie, c’est la vieillesse, c’est la maladie, même s’il ne veut pas le montrer, qui (…) gagne tous les jours un peu de terrain (…) Je ne suis pas médecin et je ne connais pas le nom de sa maladie, si ce n’est que c’est une maladie de la vieillesse", a dit le président du Conseil Constitutionnel, à qui l’on demandait de quoi Jacques Chirac souffrait.
Debré : « La maladie de Jacques Chirac gagne du… par Europe1fr