Dans un entretien à l’Associated Press, il a précisé que cette action terroriste visait peut-être aussi le bâtiment du Parlement ou le président de l’assemblée mais que les premières informations suggéraient que les auteurs avaient voulu s’en prendre à lui.
Nouri al-Maliki a expliqué que le véhicule piégé était supposé sauter à l’occasion de sa venue au Parlement mais que l’explosion s’était produite au moment où il n’était pas présent.
La déflagration survenue lundi dans la "zone verte" -située dans le centre de Bagdad et censée être l’une des plus sûres de l’Irak-, a suscité des inquiétudes quant à la capacité des forces irakiennes à assurer la protection du pays après le départ des derniers soldats américains.