"Abou Mazen ( Mahmoud Abbas) entend également soulever la question relative au comportement des autorités d’Israël dans les territoires occupés où elles délogent les Palestiniens de leurs maisons", a déclaré vendredi M. al-Maliki lors d’une conférence de presse à Rome avec son homologue italien, M. Giulio Terzi.
Le chef de la diplomatie palestinienne a, par ailleurs, condamné l’armée israélienne qui a ouvert le feu vendredi sur la bande de Ghaza tuant un Palestinien et en blessant une quinzaine d’autres.
"Nous espérons que c’est une exception et non une norme. Il s’agit d’une victime palestinienne ce qui signifie une violation du cessez-le-feu", en vigueur à Ghaza depuis mercredi soir, a dit le ministre palestinien.
De son cô té, M. Terzi a espéré, lui aussi, que cet incident ne mettrait pas fin à la trêve conclue à Gaza, après huit jours d’agressions sanglantes.