"Cela ne fait qu’aggraver les choses", a dit le chef du parti libéral égyptien et membre du Front de salut national (FSN), la coalition d’opposition. "Je ne peux pas imaginer qu’après tout cela on veuille encore faire approuver une constitution qui ne représente pas tous les Egyptiens."
Il a précisé le FSN se réunirait dans la journée pour donner sa réponse officielle aux propositions de Mohamed Morsi.
Ce dernier a abrogé samedi soir le décret qui élargissait ses prérogatives mais a confirmé que le référendum sur la nouvelle constitution se tiendrait le 15 décembre comme prévu.