La même peine a été infligée à Amr Assal, ancien directeur de l’agence égyptienne de développement industriel, qui partage en outre l’amende d’Ameh Ezz, dont le montant équivaux à l’argent public qu’il sont accusés d’avoir dilapidé, a déclaré le juge.
Rachid Mohamed Rachid, ex-ministre du Commerce et de l’Industrie, a quant à lui été condamné par contumace à 15 ans de prison et à 1,4 milliard de livres (170 millions d’euros) d’amende. Il avait déjà été condamné en juillet à cinq ans de prison pour détournement de fonds publics.