Dans certains cas, les contrôles ont été efficaces, mais dans d’autres, les candidats pourtant bien connus dans les milieux islamistes, ont échappé à la vigilance des recruteurs. L’armée redoute des infiltrations et craint de former des islamistes qui ont ensuite pour objectif de mener le djihad à l’étranger. Ces derniers pourraient par exemple, au pire, se retourner contre des soldats belges dans des terrains comme l’Afghanistan, écrit La Libre Belgique.

