Juste après la mort de Merah le 22 mars, le procureur de Paris François Molins avait indiqué que les investigations allaient "porter désormais sur la recherche de tout complice". Nicolas Sarkozy avait également demandé à la police de procéder à l’"évaluation" de la dangerosité des personnes connues pour entretenir des sympathies avec l’islam radical.
