Juste après la mort de Merah le 22 mars, le procureur de Paris François Molins avait indiqué que les investigations allaient "porter désormais sur la recherche de tout complice". Nicolas Sarkozy avait également demandé à la police de procéder à l’"évaluation" de la dangerosité des personnes connues pour entretenir des sympathies avec l’islam radical.
Le police a procédé vendredi matin à une vingtaine d’interpellations dans les milieux islamistes radicaux en France, notamment à Toulouse, plus d’une semaine après la mort de Mohamed Merah, le tueur au scooter, a-t-on appris de source proche de l’enquête.