Le gouvernement du Pjediste Benkirane, qui vit une crise politique grave après l’annonce du retrait de la coalition du parti de l’Istiqlal, manque d’arguments à présenter à l’institution financière internationale et à sa délégation en visite dans le Royaume depuis le 29 mai dernier et qui y restera jusqu’à la fin de la semaine courante.
Pour l’économiste et membre de la CGEM, Hammad Kassal, la perte de cette ligne de crédit signifie automatiquement la perte de confiance des marchés internationaux et l’aggravation de la crise.