Le pays entend dans un premier temps lever entre 6 et 7 milliards d’euros à moyen terme, à échéance 3 ans (février 2016) et 5 ans (novembre 2018), indique l’AFT, chargée de placer la dette française sur le marché.
La France empruntera par ailleurs entre 1 et 1,5 milliard d’euros de titres indexés sur l’inflation à long terme. Il s’agit d’obligations indexées sur l’inflation française à échéance 10 ans (juillet 2023) et sur l’inflation européenne à échéance 15 ans (juillet 2027) et 30 ans (juillet 2040).