"Le ministre de l’Intérieur fait enfin preuve de lucidité, mais celle-ci est bien tardive lorsque l’on se souvient de l’outrance des commentaires qui avaient suivi le discours prononcé par Nicolas Sarkozy à Grenoble en 2010, dans lequel le chef de l’État dénonçait l’existence de ces campements sauvages", ajoute le député, membre de la très droitière Droite populaire. "Avec quelques années de retard, les socialistes reconnaissent ainsi que la politique du précédent gouvernement était la seule adaptée pour faire face à cette situation", selon le responsable UMP.