Car le président candidat se demande s’il ne devra pas garder la même ligne au second tour, si Marine Le Pen réalise un gros score.
Nicolas Sarkozy s’est montré persuadé en tout cas devant les ténors de la droite que "sa campagne produira ses effets" et qu’à partir de lundi, avec une égalité de temps de parole à 50-50, il va pouvoir reprendre la main.