Lors de discussions à la 48e Conférence de la sécurité à Munich, le ministre turc des Affaires étrangères Ahmet Davutoglu a souligné que la pire option pour résoudre la question nucléaire iranienne serait celle d’actions militaires tandis que la meilleure solution était celle du dialogue et des contacts diplomatiques.
Pour sa part, le ministre qatari chargé de la Coopération internationale, Khaled al-Attiyah, a indiqué que des frappes militaires n’étaient pas une solution, d’après ses propres expériences dans cette région.
»Il faudra renforcer l’embargo sur l’Iran ne fera qu’aggraver la situation. Je pense que nous devons dialoguer. … Nos alliés et amis en Occident doivent entamer un dialogue sérieux avec les Iraniens pour sortir de ce dilemme », a-t-il précisé.