Sahara: partialité flagrante d’une « experte » de l’ONU
La récente sortie de la rapporteuse spéciale Mary Lawlor sur le Maroc et le Sahara quand elle dit que « Le Maroc doit cesser de viser les militants et les journalistes qui défendent les questions de droits humains sur le dossier du Sahara » est empreinte d’une grande partialité, tant le contenu de sa charge contre les autorités marocaines obéissent à une logique de Lobbying au service d’un agenda algérien des plus agressifs contre le Royaume.
Bien que ne parlant pas au nom de l’ONU mais juste en sa qualité d' »experte », ces critiques non fondées reprennent dans leur démarche et leur tonalité l’ensemble de la stratégie algérienne au point d’épouser point par point leur vision de ce conflit qui consiste à soutenir les milices séparatistes du Polisario et à tenter de les présenter sous un jour meilleur, celui de victimes.
La mauvaise foi de Mary Lawlor sur la situation des droits de l’homme est poussés jusqu’à son extrême, celui de feindre ignorer les attitudes positives du royaume du Maroc à l’égard des mécanismes onusiens des droits de l’homme comme le montrent les structures de l’ONU.
Mary Lawlor en tant que directrice de « Front Line défenses » n’est pas une experte indépendante ou objective. Son pedigree et son long compagnonnage avec le Polisario rend sa vision polluée par la propagande algérienne .
Par ailleurs, son communiqué est rempli d’allégations et de fausses informations que lui ont servi ses amis du Polisario pour renforcer son travail de manipulation à l’égard des instances de l’ONU et sa tentative de servir l’agenda algérien au sein de cette instance.