
Les scientifiques se pencheront peut-être un jour sur la question afin de savoir si ce nouveau soda mérite de décrocher les mêmes lettres de noblesse que le gingembre, les huîtres ou la pilule bleue. Mais en attendant, la réputation du DSK grossit avec vigueur. Dans les bars de Guéret, les discothèques, les stations-service et même… quelques clubs libertins du centre de la France. Et bientôt au Pays basque ? « C’est prévu. Nous allons élargir notre gamme en mettant du piment d’Espelette dans notre DSK. Nous allons contacter des producteurs basques. »