"Donc, nous ne voyons pas de raison de ne pas progresser dans la reconnaissance du statut de candidat à la Serbie", a ajouté le ministre. "Il y a encore des réticences, de l’Allemagne notamment, mais nous ne désespérons pas de faire avancer le dossier". Les chefs d’Etat et de gouvernement de l’UE doivent se prononcer sur ce dossier au cours de leur sommet de jeudi et vendredi. Outre l’Allemagne, très indécise, l’Autriche s’est prononcée mercredi pour un report de cette décision au sommet européen de mars 2012.