Il s’agit de l’attaque du genre la plus meurtrière à Homs depuis le début du conflit il y a trois ans, une escalade de la part des rebelles qui intervient à un mois de la présidentielle organisée par le régime.
Au moins 100 personnes, dont près de 80 civils, ont été tuées dans le double attentat à la voiture piégée revendiqué par des jihadistes et qui a frappé mardi un quartier pro-régime à Homs, troisième ville de Syrie, selon une ONG.