« Nous attendons ce voyage comme une nouvelle affirmation de la relation et de l’amitié très importantes et durables entre le peuple des États-Unis et ceux qui vivent sur ce continent », a indiqué Mme Harris.
« C’est un honneur d’être ici au Ghana et sur le continent africain », a déclaré Mme Harris, ajoutant que « je suis très enthousiaste quant à l’avenir de l’Afrique ».
Elle a affirmé vouloir promouvoir la croissance économique et la sécurité alimentaire et s’est réjouie de pouvoir « témoigner directement de l’innovation et de la créativité extraordinaires qui se manifestent sur le continent ».
Les défis économiques et sécuritaires seront probablement abordés lundi lors de la rencontre entre Mme Harris et le président ghanéen, Nana Akufo-Addo.
Mme Harris est le membre le plus en vue de l’administration du président Joe Biden à se rendre en Afrique cette année. Après le Ghana, elle prévoit de se rendre en Tanzanie et en Zambie. Elle rentrera à Washington le 2 avril.
Ce déplacement lui permettra de renforcer ses qualifications en matière de politique étrangère, en amont d’une potentielle deuxième candidature de M. Biden à l’élection présidentielle de 2024, avec Mme Harris à ses côtés.
Au Ghana, la vice-présidente doit prononcer un « discours important » à l’adresse de la jeunesse et visiter une ancienne plaque tournante de la traite des esclaves, le fort de Cape Coast (sud).
Auront également lieu des rencontres avec des entrepreneurs de la tech, des leaders du numérique et des groupes promouvant la place des femmes dans l’économie.