Dans un communiqué, le Pentagone a précisé que Maher al-Agal, présenté comme « l’un des cinq plus hauts dirigeants » de l’EI, a été neutralisé alors qu’il roulait à moto près de la ville de Jandairis et son plus proche conseiller a été « gravement blessé ».
Il était « chargé de poursuivre de façon incisive le développement des réseaux de l’EI hors d’Irak et de Syrie », a affirmé le porte-parole du commandement central de l’armée américaine au Moyen-Orient, le colonel Joe Buccino.
Le président américain Joe Biden s’est félicité dans un communiqué du succès de l’opération qui « élimine un terroriste clé » et « affaiblit de façon considérable la capacité de l’EI de préparer, financer et conduire ses opérations dans la région ».
L’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), une ONG disposant d’un vaste réseau de sources en Syrie, a confirmé la mort de Maher al-Agal, présenté comme « le gouverneur pour le Levant » de l’EI, dans cette frappe.