Créé en 2013 et doté de 10.000 euros, le Prix de la littérature arabe promeut l’oeuvre (roman ou recueil de nouvelles) d’un écrivain ressortissant de la Ligue arabe, auteur d’un ouvrage écrit en arabe et traduit en français (ou directement écrit en français) et publié à compte d’éditeur entre le 1er septembre 2021 et le 31 août 2022.
La sélection des six à huit ouvrages finalistes sera annoncée début septembre. Les ouvrages retenus seront soumis aux membres du jury – composé d’éminentes personnalités du monde des médias, des arts et de la culture, ainsi que de spécialistes du monde arabe – qui se réuniront ensuite pour désigner le lauréat, précisent les organisateurs dans un communiqué.
Depuis sa création par la Fondation Jean-Luc Lagardère et l’Institut du monde arabe, le Prix de la littérature arabe a notamment été remis en 2013 à Jabbour Douaihy (Liban), en 2015 à Mohammed Hasan Alwan (Arabie saoudite), en 2016 à Inaam Kachachi (Irak), en 2019 à Mohammed Abdelnabi (Egypte), en 2020 à Abdelaziz Baraka Sakin (Soudan) et en 2021 à Jokha Alharthi (Oman) pour son roman Les Corps célestes.
Le dépôt des candidatures est ouvert jusqu’au 30 juin 2022. Pour les ouvrages dont la parution est prévue après le 30 juin 2022, les éditeurs pourront, dans un premier temps, ne faire parvenir à la Fondation que les épreuves.