A l’issue d’une rencontre avec le président grec Karolos Papoulias, le président de la Nouvelle démocratie, Antonis Samaras, a déclaré que "les élections sont une nécessité nationale", ajoutant que la volonté du Premier ministre George Papandreou de convoquer un référendum met en danger l’adhésion de la Grèce à l’Union européenne.
La Nouvelle démocratie est déterminée à éviter toutes "expériences opportunistes", a-t-il dit.
Le nouvel accord sur la dette de la Grèce prévoit notamment que les banques vont effacer la moitié de l’ardoise grecque. La zone euro garantira les nouvelles créances à hauteur de quelque 30 milliards et avec le Fonds monétaire international (FMI), elle accordera 100 milliards d’euros de prêts à la Grèce. La dette de la Grèce devrait ainsi être ramenée à 120 % de son produit intérieur brut (PIB) d’ici à 2020, au lieu de 180 %.