Ainsi, le Conseil a adopté la stratégie arabe pour la sécurité hydrique afin de répondre aux défis et enjeux inhérents au développement durable (2020-2030), la stratégie arabe pour la jeunesse, la paix et la sécurité (2023-2028), et la stratégie arabe pour la formation et l’enseignement technique et professionnel.
Le Conseil a également approuvé un mécanisme de coordination pour fédérer les institutions de développement social et les banques des pays arabes sous l’égide de la Ligue des États arabes.
Dans ce sens, le Secrétaire général adjoint de la Ligue Arabe, Houssam Zaki, a relevé que la réunion a abordé différents clauses et sujets, dont le plan d’urgence pour la gestion des répercussions économiques et sociales de l’agression israélienne contre l’État de Palestine, et l’appel adressé aux pays, aux organisations et aux agences de développement en vue de contribuer au financement et à la mise en œuvre de ce plan.
Le Conseil s’est, de même, félicité des mesures prises pour mettre en oeuvre les décisions du Conseil des ministres de la cybersécurité. Il a aussi examiné les progrès accomplis sur la voie du parachèvement de la grande zone arabe de libre-échange et la mise en place de l’union douanière arabe, appelant à soutenir l’adhésion de la Ligue des États arabes en tant qu’observateur auprès de l’Organisation mondiale du commerce (OMC).
Le sommet de Bahreïn se déroule dans un contexte régional et international dominé par les développements de la question palestinienne et la situation à Gaza, ainsi que par des défis sécuritaires et économiques qui exigent des décisions constructives à même de contribuer au renforcement de la solidarité arabe et au renforcement des efforts visant à instaurer la paix, la sécurité et la stabilité dans la région.