"L’immigration n’est en définitive que l’image révélatrice des vraies questions posées par nos sociétés de plus en plus mondialisées. Depuis les années 1960, le Maroc est l’un des principaux foyers migratoires mondiaux et les Marocains constituent une communauté migratoire considérée parmi les plus importantes et les plus dispersées géographiquement", lit-on dans une présentation du colloque, initié par le département d’histoire de l’Université Ibn Zohr.
Les débats s’articuleront autour de quatre axes traitant de l’émigration/l’immigration dans l’histoire du Maroc, les étudiants marocains à l’étranger en rapport avec le nationalisme et les étudiants étrangers au Maroc, l’impact de la féminisation de la migration et les transformations sociodémographiques, littéraires, culturelles et économiques induites par la migration.
Le colloque est organisé en partenariat avec le Conseil de la communauté marocaine à l’étranger, le Conseil consultatif des droits de l’Homme, l’Institut royal de la culture amazighe et l’Observatoire régional des migrations-espaces et sociétés.