Alors que le taux de chômage des jeunes dépasse les 40 % en Italie (43,3 % en octobre), Mme Lagarde a relevé que cela concernait des centaines de milliers de personnes, dans un discours ouvrant l’année académique à la prestigieuse université Bocconi. Le marché italien du travail est frappé de « dualité », c’est-à-dire profondément divisé entre ceux qui bénéficient d’un statut très protégé et les autres, de statut précaire et souvent jeunes, a-t-elle remarqué.
Les chiffres du chômage des jeunes en Italie, au plus haut depuis près de 30 ans, pourraient « faire perdre son sourire à la Joconde », a estimé mardi à Milan la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), qui a encouragé les réformes de Matteo Renzi.
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