"La polémique ne sert personne. Nous n’avons pas souhaité la nourrir. Effectivement, les propos ont suscité un emballement médiatique", a souligné Mohamed Moussaoui.
"Certains musulmans se sont sentis visés. Nous l’avons saisi avec respect et considération qui sont dus à un ministre de la République mais aussi avec l’exigence imposée au Conseil français du culte musulman de part sa responsabilité, sa mission", a précisé le président du CFCM, en référence au courrier adressé au ministre de l’Intérieur.
"Nous lui avons demandé de rassurer les musulmans de France qui se sont sentis visés par des interprétations de ces propos. En retour, il nous a précisé qu’il ne visait aucune culture particulière et certainement pas les citoyens de confession musulmane", a ajouté Mohamed Moussaoui en précisant que "la polémique est close".