En meeting à Lyon, le candidat socialiste à l’élection présidentielle a déclaré que ce choix controversé était "un signe" et un "acte de solidarité" en vertu de la "justice fiscale". "Cette mesure n’a pas vocation à rapporter un seul euro au budget de l’État. Elle relève d’une forme de patriotisme dont le pays a besoin", a-t-il déclaré.
"A un moment, nous devons collectivement poser la règle", a-t-il expliqué. "Les Français sont prêts à faire des efforts et je leur en demanderai pour redresser le pays (mais) en même temps, les Français ne sont pas prêts à accepter un creusement des inégalités, une explosion des rémunérations", a-t-il ajouté.