Dans un communiqué publié samedi par son porte-parole, M. Guterres a dit suivre avec une “profonde inquiétude” les informations faisant état d’affrontements violents à Tripoli, appelant les parties à ne pas recourir à la force pour résoudre leurs différends.
Il a, également, appelé les parties libyennes à protéger les civils et à s’abstenir de toute action susceptible d’exacerber les tensions et d’approfondir les divisions.
Le SG de l’ONU a, en outre, indiqué que les Nations Unies demeurent disposées à offrir leurs bons offices et leur médiation pour aider les parties libyennes à tracer une voie pour sortir de l’impasse politique, qui “menace de plus en plus la stabilité durement acquise de la Libye”.