Covid-19/Unesco/Ambassadeur Samir Addahre : « L’ampleur exogène du choc nous amène non pas à penser redémarrage mais plutôt reconstruction »
Question palestinienne, mise en place de programmes éducatifs innovants , trafic illicite des biens culturels, une meilleure répartition géographique des Géoparcs et la « Priorité Afrique » ont dominé le contenu de la prise de parole du Délégué Permanent du Maroc auprès de l’Unesco, lors de l’ouverture jeudi de la 209éme session du Conseil Exécutif de l’Organisation des Nations Unies pour l’Education, la Science et la Culture. Nous avons interviewé l’Ambassadeur Samir Addahre, à l’issue de la première journée de cette session qui durera 10 jours.
La « Priorité Afrique » est stratégique pour le Maroc
Une pandémie qui a fragilisé les systèmes de gouvernance
Aussi pour l’Ambassadeur du Maroc, « l’ampleur exogène du choc nous amène non pas à penser « redémarrage » mais plutôt « reconstruction » pour que soient engagées « des transformations durables dans la dynamique de la société mondiale », a-t-il plaidé. Là-dessus, « l’Unesco doit répondre aux attentes des états membres et aux aspirations de leurs peuples au développement durable », notamment.