Selon des douaniers cités anonymement dans le quotidien, les raisons avancées par les personnes en possession de l’argent saisi sont «majoritairement» d’ordre fiscal. «Les (sommes issues du trafic de) stupéfiants ne représentent que 10% du volume», selon un enquêteur. D’après les statistiques des Douanes mentionnées par le Parisien, la Suisse et le Luxembourg sont les premières destinations de ces flux d’argent liquide.